Voici quelques photos prises lors de rencontres avec des personnalités ou des objets remarquables. Toujours dans les domaines de la musique country, du western et de la poudre noire.

Je vous présente:    Nicolas Pliha

 
Nicolas (à droite) et moi-même lors du 3e tour du Critérium Armes Anciennes, Benfeld, 7 mai 2022 (Photo Guy Vailly)

Lorsque, sur un stand de tir, vous entendez l'accent du midi, c'est que Nicolas n'est pas loin.  Il est originaire de Camargue, et, malgré les années, il n'a pas laissé son accent natal dans sa poche... ni le laisser supplanter par notre accent local.
Bien que...
Nicolas a effectué toute sa carrière professionnelle dans la Police Zürichoise. Il parle donc un "Schwitzger Dütsch" absolument parfait. Et je dois dire que l'association de l'accent du midi avec celui de Zürich chez une même personne a de quoi surprendre...
 
Mais Nicolas Pliha, c'est aussi un très grand tireur aux Armes Anciennes, surtout dans les longues distances. On va donc le retrouver en 1999 à Bisley, au sud-ouest de Londres et qui est la référence mondiale dans le "Long Range Shooting". Il y a tiré pratiquement sur toutes les distances: 300, 500, 600, 900 et 1000 yards (1000 yards = 914,4 mètres !).
 
Il est allé jusqu'en Afrique du Sud, en 2007, pour ramener le titre de Champion du Monde par équipe sur la distance de 500m.
 
Plus plein de premières places en France et en Europe, avec, entre autres, en 2015 à Vitrolles, le titre de Champion de France par équipe dans la discipline Tanegashima (mousquet à mèche, distance 50 mètres position debout).
 
Et là, en 2022, après 2 ans d'absence covidienne, on se retrouve Nicolas et moi dans cette chaude et sympathique ambiance de l'équipe alsacienne des tireurs Armes Anciennes (nom scientifique: "Pulvéronégristes") sous la houlette du non moins sympathique Guy Vailly qui a rassemblé cette équipe et organisé ce critérium.

 
Guy Vailly dans sa discipline préférée: le révolver à percussion.

 

 

Thomm Jutz et Eric Brace, dans le cadre de leur tournée européenne, ont posé leurs valises dans le petit village d'Ottersweier, en lisière de Forêt Noire. C'était le 18 novembre 2018. (A suivre...)
 

 

Lynne Hanson a placé Gardenrock sous les couleurs du Canada pour son concert du 3 novembre 2018 à Obermodern dans le cadre de sa tournée européenne.
 
En 1ère partie, nous avons pu apprécier le groupe Yowa, qui est lui bien de chez nous, avec un répertoire axé folk & country, donc complètement dans la ligne musicale de cette soirée.
 
Lynne Hanson, quant à elle, nous a fait découvrir une musique très variée alternant de belles ballades avec des touches de rock un peu plus rythmées. Elle était accompagnée de Marie-Jo Dandenau à la basse, qui, le temps d'une chanson, a recréé une ambiance d'Halloween assez spectaculaire à coup de réverbération et d'effets de lumière.
Nous avons eu droit à 2 solos de Lynne Hanson: elle a interprété « Ne me quitte pas » de Jacques Brel. Et lors du 1er rappel, on l'a vue sur une table en plein milieu de la salle, chantant et jouant de la guitare sans sono et sans micro !
 
Le final, quant à lui, fut assez remarquable: Marie-Jo a fait venir sur la scène toute l'équipe de Gardenrock, et tout ce beau monde a clôturé le concert en interprétant pendant de longues minutes - et pour le plaisir de tous - « Knockin' On Heavens Door » de Bob Dylan.

 

En 1ère partie: le groupe Yowa
 

Concert organisé par Gardenrock et son président: Rémy Stucki

La Canadienne Lynne Hanson accompagnée par:

la bassiste canadienne Marie Jo Dandeneau et par le groupe:

The Good Intentions avec: Joe Coombs à la guitare, Cody Yvasiuk à la batterie.

 

Le final avec Lynne Hanson, Marie Jo Dandeneau, The Good Intentions et toute l'équipe de Gardenrock
 

 
The Henry Girls, ce sont trois frangines: Karen, Lorna et Joleen McLaughlin. Avec un patronyme comme celui-là, elles ne peuvent être qu'Irlandaises. Ce que l'on découvre d'ailleurs sur scène avec la harpe celtique ainsi que la sonorité dégagée par l'association fiddle-accordéon. Ce n'est pas de la Country-Music me direz-vous ? A mon avis, tout autant que ce que font certains artistes actuellement dans un registre prétendu tel. A ne pas oublier que la musique country tient ses sources en grande partie des immigrants irlandais. Pour en revenir à ce show, nos trois dames ont effectué une tournée de 14 concerts en Allemagne sous la houlette de Rainer Zellner et se sont arrêtées ce soir là, le 21 octobre 2017, au Salmen d'Offenburg.
The Henry Girls, ce sont trois voix tellement belles, harmonieuses et parfaites qu'elles peuvent se permettre une instrumentation très discrète: harpe celtique, fiddle, accordéon, ukulélé et piano. Le premier morceau de leur répertoire était d'ailleurs a capella. Répertoire "Irish, Americana, Folk", avec une petite touche de jazz et une très agréable interpétation de "Boogie Woogie Bugle Boy" à la Andrew Sisters.
A Offenburg, nos trois soeurs n'ont pas été trop dépaysées: la météo excécrable leur a rappelé leur belle, verte et... pluvieuse Irlande !
 

 
John Lowell (au centre) nous arrive tout droit de Livingston, dans le Montana. Il a fait partie des artistes qui ont participé, le 16 mai 2015, au 13e Festival Bluegrass de Bühl, organisé par Walter Fuchs (à gauche) et la ville de Bühl. Musicalement parlant, j'adore ce qu'il fait: sa musique est très poétique et colle très bien avec le timbre de sa voix que j'apprécie beaucoup. Une des rares voix masculines de la Country que je reconnais d'ailleurs de suite (avec Willie Nelson, bien sûr...)
 

 
A gauche, Kristy Cox, et, à droite, Travis List, venus tout droit de la lointaine Australie dans le cadre de leur tournée européenne. Ils se sont arrêtés le 29 juillet 2014 dans une petite salle de Surbourg pour une soirée Bluegrass très sympathique organisée par notre troubadour alsacien Serge Rieger. Serge Rieger qui a assuré la première partie de ce spectacle en compagnie de son fils Virgil, et qui organise aussi depuis plusieurs années déjà «Bluegrass en Alsace» à la Maison Rurale de l'Outre-Forêt de Kutzenhausen.
 

 
The Toy Hearts, groupe familial britannique, lors du 9e Festival Bluegrass de Bühl le 14 mai 2011. A gauche, et qui nous surveille, le père: Stewart Johnson (banjo, dobro) et ses 2 filles Sophia (chant, guitare) et Hannah (chant, mandoline). Ils étaient accompagnés sur scène par Howard Gregory (fiddle) et par Tom Bull (contrebasse). De la musique acoustique donc, teintée de Western Swing (moi, j'adore), apportant cette touche d'originalité chère à Walter Fuchs, organisateur de ce festival.